Si les techniques de récupération de données sur disque dur apparaissent comme faisant aujourd’hui toutes leurs preuves, la question des pertes éventuelles de fichiers sur téléphones mobiles est plus crucial.
Le stockage sur mobile, nouvel enjeu pour la récupération de données
Depuis les 10 dernières années, le marché du téléphone portable a connu une transfiguration avec l’expansion globale du smartphone, ce téléphone mobile augmenté qui est devenu désormais un véritable petit ordinateur de poche, dans lequel un grand nombre de documents et informations sont stockés (photos, contacts, et bien d’autres).
Or, le petit appareil, malgré ses promesses, demeure bien fragile, et les aléas auxquels il est soumis le placent dans une position nettement plus précaire que celle de ses aïeux informatiques. Une implosion, une mauvaise chute, une baignade involontaire, et l’appareil peut s’éteindre à tout jamais. Et ce, sans mentionner les cas fréquent de suppression manuelle de fichiers par erreur.
Toutes les données sont-elles pour autant perdues ? Bien au contraire…
Des professionnels au service de la récupération de données sur portables
Aujourd’hui, les démarches sont simples pour retrouver les fichiers d’un téléphone hors-service. Certaines entreprises s’y sont spécialisées, et s’assurent d’effectuer tout le nécessaire pour effectuer cette tâche. C’est le cas par exemple d’Ontrack, leader en la matière, qui met au service du détenteur de l’appareil une équipe de spécialistes. Il suffit d’appeler l’entreprise via un numéro disponible sur le site, ce après quoi il sera proposé un diagnostic permettant de déterminer l’étendue des solutions envisageables, suivi d’une prise en charge totale incluant récupération des données et transmission sur un disque dur.
Le service met aussi à disposition de tout intéressé un logiciel de récupération des données, qui peut s’avérer fort utile si le téléphone peut être relié à l’ordinateur en tant que périphérique de stockage externe.
De la sorte, les craintes peuvent être amoindries : l’âme d’un téléphone mort s’explore aussi bien, parfois mieux, que celle d’un ordinateur classique.